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25 novembre 2008

Ce samedi 29 novembre tu aurais eu 32 ans mon

Ce samedi 29 novembre tu aurais eu 32 ans mon amour.

Nous sommes affreusement mutilés... Aucune expression aucun mot ne peut le décrire...

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20 juin 2008

l'histoire se termine ici

voila dernier message de ce blog, ma vie s'est arrêtée le 27 juillet 2007.  Aucun mot ne peut décrire le gouffre sans fin dans lequel je me trouve. je préfère m'arrêter là.

que la vie passe...que la torture s'arrête, je purge ma peine à perpétuité.

11 juillet 2007

Art Manuel

Voila ce que certains savent faire de leurs mains. Merci Hajer pour ces chefs d'oeuvre.

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13 juin 2007

JE CREVE D'ENNUI

Je crève d’ennui…là ce n’est  pas le prétexte de la paresse,  non, ennui dans le sens d’ennui ontologique, voilà, je crois que c’est ça. Je crève d’ennui. Je crois que j’ai avalé de travers, la pilule n’est pas passée….elle est de travers. J’étouffe…

Maintenant je m’en fiche de la tire-lire, de toute façon j’l’ai explosée, et puis on n’connaîtra jamais sa valeur de toute façon….elle n’a pas de valeur marchande. Et ce qui n’a pas de valeur marchande n’existe pas….il faut un référent en or à toute chose…le reste compte peu. C'est trop amer!!!

-« Je m’en fous, est ce que c’est assez clair comme réponse »…-« réponse à quoi ? » –« bah à tout. »

-« C’est pas une réponse ça ? »-«  ah bon ? »

-« j’ai les jambes lourdes je reste ici de toute façon ! »

7 juin 2007

Zut !!! pourquoi j’ai cassé ma tire-lire ?

(Je me présente : Héla sociologue à la recherche d’un travail de sociologue….)

Je regrette d’avoir brisé ma tire-lire….Ce jour là j’ai cru devenir grande, j’ai cru devenir riche….

En fait toute mon enfance j’ai rempli cette tire lire, de lectures, d’interrogations, de jeux innocents, d’insouciance, de bonbons et de milliers d’autres choses.Ma tire-lire contenait des choses mais n’était pas pleine…..cette tire lire là ne se remplit jamais totalement, c’est comme éponge, tu ne sais pas quand elle a fini d’absorber.

Puis un  jour j’ai décidé de la casser, j’ai décidé que je devenais adulte, qu’il suffisait que je ramasse toutes les pièces de ma tire lire et qu’avec ça j’aurai assez de sous pour vivre….

Je me suis rendue compte que ce monde où vivent les gens qui ont cassé leur tire lire n’était pas mien : ce monde là était habité par des adultes plein de suffisance et de prétention. Ce monde n’a pas accueilli mes pièces avec bienveillance : ce monde là à dit –« pas de place pour les sociologues » (moi j’avais mis dans ma tire lire plein plein de pièces de sociologie, parce que je croyais que le concret faisait la vie). Ce monde là m’a dit « la sociologie n’utilise pas de mots savants comme la médecine » !!(qui a inventé tout un charabia inaudible pour s’ériger en Science).

Dans ce monde pas de place pour un sociologue plein de potentialités qui rêve encore (innocemment ou naïvement) de changer le Monde.

Le jour où j’ai cassé ma tire lire, ce jour là,  j’ai cru m’enrichir et depuis ce jour je n’ai fait que m’appauvrir….

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9 mai 2007

Une multitude de OUI

L'amour n'est pas tout fait. Il se fait.

Il n'est pas robe ou costume prêt à porter,

mais pièce d'étoffe à tailler, à monter et à coudre.

Il n'est pas appartement livré clefs en main,

mais maison à concevoir, bâtir, entretenir, et souvent réparer.

Il n'est pas sommet vaincu, mais départ de la vallée, escalades passionnantes,

chutes dangereuses,

dans le froid de la nuit ou la chaleur du soleil eclatant.

Il n'est pas solide ancrage dans le port du bonheur,

mais levée d'ancre, et voyage en pleine mer, dans la brise et la tempête,

Il n'est pas OUI triomphant, énorme point final qu'on écrit en musique,

au milieu des sourires et des bravos,

mais il est une multitude de "OUI" qui pointillent la vie,

parmi une multitude de "non" qu'on efface en marchant.

Ainsi être fidèle vois-tu ce n'est pas:

ne pas s'égarer, ne pas se battre, ne pas tomber,

c'est toujours se relever et toujours marcher,

c'est vouloir poursuivre jusqu'au bout,

le projet ensemble préparé et librement décidé.

C'est faire confiance à l'autre au-delà des ombres de la nuit.

C'est se soutenir mutuellement au-delà des chutes et des blessures.

C'est avoir foi en l'Amour tout puissant, au-delà de l'amour.

                                                           Père Michel Quoist.

31 janvier 2007

Conversation avec les hommes (Micromegas)

Je sais...j'écris une fois toute les 36 de l'An...Mais déménagement et installation à Paris en sont les causes. Sans compter mes innombrables coups de déprimes existentielles. Ce spleen constant qui me colle à la peau.

J'ai alors décidé de vous faire part aujourd'hui d'un extrait d’une conversation avec maman, au sujet d'une de mes mille questions insolubles. J'ai choisi de donner ce titre à ce message en référence au texte de Voltaire, Micromegas qui est un Géant de Saturne, qui pour se former le cœur et l'esprit et répondre à sa curiosité dévorante, va se rendre sur Terre pour comprendre ces petits atomes appelés homme. Voltaire par ce texte dénonce la vanité de l’homme, son nombrilisme. Il dresse un portait de l’humanité (être homme) : infinie ment petite et démesurément orgueilleuse…Ce texte me rappelle cette conversation car habitée par ma petitesse et mon fort désir d’action, je n’arrive plus à comprendre le sens de l’existence.

Vers 12h à la cuisine :

-         Maman, comment est-ce que consciente de ma petitesse, je peux envisager une action à la mesure de mon idéal. Je pense que finalement Dieu (si il existe) n’attend rien des hommes car sinon pourquoi les aurait-il crée conscients de la faible portée de leurs actes ?                                           

-         Ne te méprends pas, Dieu t’a créée grandeur et petitesse. Petit atome certes mais si grand. L’Homme est le seul a avoir accepté « le dépôt » (être le vicaire de Dieu sur terre), Dieu l’avait proposé aux montagnes et aux glaciers qui l’ont refusé. L’Homme seul l’a accepté. Dieu a mit en l’homme une part infiniment lumineuse qui fait sa grandeur.

-         Oui mais être le vicaire de Dieu sur terre, ça me sert à quoi tous les jours, à rien, en quoi se manifeste ma grandeur, je ne vois que des illustrations de la petitesse de l’homme, vanité, orgueil, méchanceté, égoïsme, rien de lumineux. Pourquoi suis-je condamné à être spectateur de choses qui me font souffrir dans le Monde contre lesquelles je ne puis rien. C’est le pire des châtiments infligé à l’homme : lui attribuer une conscience et une faible portée d’actions. Je pense que par essence Dieu n’attend rien de bon des hommes, même quand ils se sacrifient et l’Histoire l’a prouvé, les chosent restent approximativement les mêmes. Je ne suis pas comme vous maman, je n’écrirais pas de livres, je ne veux pas écrire de livres pour être immortelle.

-         Ma chérie, je n’écris pas des livres pour être immortelle, la connaissance est ma passion, elle m’habite sur terre. Je n’ai que faire de l’immortalité, que les gens se souvienne de moi après ma mort. Ma seul satisfaction à ma mort, mon seul paradis c’est la béatitude dans la contemplation de Dieu.

Merci maman , déménager et te quitter physiquement est de loin la chose la plus difficile que j’aurais eu à faire durant ma vie.

A vos plumes, selon vous comment résoudre le dilemme petitesse de l’homme et action pour changer le Monde…

13 novembre 2006

Balade dans Paris…

A mes chers lecteurs, oui je sais, j’ai dû en perdre quelques uns depuis mes 2 mois d’absence. Cela dit, ces deux mois m’ont permis de connaître mes indéfectibles tels que Mali que je salue pour son soutien  inconditionnel (c’est ça la famille J) et tous les autres…

Absente certes, mais non inactive. Un petit bilan de ces 2 mois s’impose : travail acharné de thèse, innombrables va et vient entre Paris et Tunis, activités associatives,  bichonnage de mon « alter » (comme dirait Carole J)…Cela dit, et oui je dois vous le confesser, je n’arrive plus à assumer mes différentes caractéristiques antagoniques : je suis engagement et paresse à la fois, rigueur et langueur en même temps…et c’est le blog qui en pâtit !!

Le sujet d’aujourd’hui va nous ramener au 14 octobre 2006…à Paris en compagnie de mon Alter chéri…

Réveil matinal pour un samedi mais le programme en valait largement le coup ! Il s’agissait de refaire pour la énième fois le parcours de mon enfance, c’est à dire retourner dans mon quartier lorsque j’étais enfant (à Nation), à mon école (27 rue de Reuilly) , à notre boulangerie (qu’on emmerdait pour 5 francs de bonbons), à mon conservatoire de danse classique (sur la rue Picpus), au cinéma où mon frère se faisait exploiter en retirant les affiches de cinéma (qu’on a gardé 10 ans après !!), sur les murs où je griffonnait en tout petit le prénom de Romain mon amoureux en secret, sur le pavé où j’ai failli mourir fauchée par une voiture, à la maison d’Anaïs (qui faisait pleins de booms et qui envoyait les mêmes cartes postales à toute la classe), devant l’immeuble de nos amis turques (rien que le souvenir me rappelle l’odeur particulière de leur maison), le parcours des manifs (et oui mon père militait pour toutes les causes, à l’époque on était des enfants de communistes, j’en ai des restes aujourd’hui J ) sur les lieux des milles et unes histoires qu’on s’est inventé et qu’on racontait pour « craner » (à l’époque on disait pas « frimer » !!) dans les cours de recrée, devant les statues que mon frère escaladait devant le regard attendri de maman(les canons de la Nation qu’il escaladait, rien que ça !!)…Tous ces endroits que je devais à chaque fois revisiter comme un pèlerinage à chaque voyage à Paris. Et mon pauvre Riadh devait se re-coltiner le parcours en m’entendant lui ressasser milles fois les mêmes histoires parsemé de quelques larmes de nostalgie. Riadh pourrait être le guide de ma vie dans Paris (pour ceux que ça intéresse !!). Bref, ne nous éloignons pas du sujet…Après cette traditionnelle ballade on décida vers les coups de 17h de s’assoire sur la terrasse d’un café. On choisit (pour les connaisseurs du 12ème arrondissement) « tartes thé tartines » (admirez le jeu de mots J) munie du « Pariscop » (tout parisien qui se respecte doit l’avoir en poche, n’est-ce pas Carole ?) on commande thé parfumé mûre et clafoutis au framboise qu’on déguste en choisissant la balade dans Paris qu’on allait faire le lendemain. Je vous explique, en fait dans le pariscop tu peux choisir, parmi plusieurs, une balade avec un guide dans un endroit. Il suffit de se rendre en temps et lieu voulu au rendez-vous avec le guide. Le choix était assez difficile : entre la balade au cimetière du Père-Lachaise (là tu peux admirer et te recueillir sur la tombe de grands écrivains, peintres, poètes, politiques…), entre la visite de Montmartre (Sacré cœur, portraitistes…) et pleins d’autres. Mon regard se posa sur la visite de L’île St Louis (pour ceux qui voient pas où c’est, c’est là ou il y a le glacier Bertillon, le pont des Arts….), en face du quartier Latin (Notre dame et compagnie….). L’annonce était assez alléchante :

« Visite de l’Ile St Louis avec le grand guide « machin bidule chouette », vous en saurez plus sur son architecture avec des anecdotes secrètes, vous admirerez la somptueuse demeure de Sophia Loren, vous visiterez l’atelier de Camille Claudel, vous vous languirez devant « le jeu de paume » et vous serez éblouie par la visite d’un petit hôtel particulier de 55 pièces….. » le prix 10 euros.

Et j’en passe, il y avait pleins de termes hyperboliques désignant encore plus d’endroits aguicheurs….

Là je dis –« Riadh c’est la balade que je veux faire ». Moi avec la perspective de l’atelier de Camille Claudel et une glace chez bertillon j’étais déjà aux anges. Cela dit je commençait déjà à rêvasser à l’hôtel particulier et tout le tralala…

On tel à une amie Fatma (que je salue par la même) pour lui proposer, enchantée, elle accepta l’invitation. Donc rendez-vous le lendemain dimanche à 15 h pile à l’Ile St Louis (métro j’chai plus quoi !).

Bon on arrive, on trouve une centaine de personnes qui voulait aussi faire la balade (moyenne d’âge 60 ans), tous français (pas de japonais à ma grande surprise que des parisiens épris de culture qui souhaitaient mieux connaître l’histoire des lieux qui les abritaient, heureuse de cette constatation j’arborai une attitude fière de faire partie de ce fleuron, ma foi fort valorisant J).

Le guide s’en va dans un long monologue de 35 min, il avait mon attention par paliers de 5 minutes, car comme tout sociologue qui se respecte, je me devais d’analyser plus amplement la population adepte des balades guidées dans Paris.

Ensuite, après cette introduction, une fois que tous les retardataires étaient là, il expliqua sont histoire de patch vert, jaune et rouge. Le vert était destiné aux habitués de ce guide, le rouge à ceux qui venaient pour la deuxième fois et le jaune pour les nouveaux (j’affinais alors mon analyse de la population par cet outil fabuleux qu’était le patch). Chacun paya ses 10 euros et se vit marqué par une couleur. Ainsi stigmatisés, nous commençâmes la balade proprement dite. Il faut dire aussi qu’avec les espèces de patch, le guide pouvait distinguer entre les personnes qui avait payé l’info géniallissime qu’il allait divulguer et les passants voleurs de bribes de phrases, car les explications avaient lieu dans la rue !!!

Après l’explication, les yeux rivés au ciel, sur l’architecture, il entreprît de nous faire  traverser la rue pour admirez de loin, les persiennes de la demeure de Sophia Loren, je n’en revenais pas, on savait tout de même lire, il y avait une stèle prés de l’entrée de l’immeuble qui disait que c’était la demeure de Sophia Loren, on sait lire quand même !!! On n’avait pas besoin de payer 10 euros pour ça !! Ensuite il nous emmena à 50 mètres, nous expliquant qu’au fond de la cour de l’immeuble dans lequel on allait entrer (nous faisant remarquer au passage qu’il avait le code de la porte, donc un privilège particulier…), se trouvait des escaliers d’une rare beauté. Il ne sait pas privé de nous demander de garder le silence et d’éviter de prendre des photos. On entre donc, on fait la queue pendant 10 min dans le silence, dans la cour d’un immeuble d’un style complètement banal (ce n’était même pas l’immeuble genre Haussmanien qui fait rêver mais une vulgaire cour d’immeuble, limite le linge pendoullait aux balcons), presque arrivée je voyais les gens qui s’approchaient en mettant les mains sur les vitres pour voir car une porte vitrée à code t’empêchait de voir en direct les escaliers de l’immeuble : de vulgaires escaliers en fer forgé. A entendre le gars, tu te dis je vais voir la Huitième merveille du monde et ce que tu vois ce sont des escaliers en colimaçons tous bêtes !!!

Ça s’annonçait déjà très bien  pour l’atelier de Camille Claudel…. Mais d’abord quelques précisions sur le guide : haut comme trois pommes, il se taisait lorsque des passants passaient à pieds pour éviter que l’info se sache et se mettait à courir entre deux sites à visiter, de sorte que mon cher Riadh stressait à mort à chaque fin de commentaires redoutant de ne pas arriver à temps pour l’explication d’après (on avait quand même payé 10 euros !!!J).

On arrive devant un bel immeuble et là, la chose que je j’appréhendais tant, se produisit. Il nous dit avec un ton genre régalez-vous « nous voici donc devant l’ex atelier de Camille Claudel » (et il repart dans un long monologue pour nous raconter une histoire qu’on connait déjà, qu’on a lu, qu’on a vu au cinéma…), celle de Camille Claudel et de Rodin, parlant d’infidélités et d’autres menus détails pas intéressants en soi…A chaque fois, soit il rigolait seul à ses blagues, soit les vielles ponctuaient son récit par des ohhhh…des hihi et des ahhhhhh !! on ne visitera pas l’atelier…je commençais à fulminer et à parler de publicité mensongère…c’est horrible, j’avais tant rêvé à ses lieux enchanteurs que j’allais voir et la frustration était au bout du chemin sans que je le sache…

Ensuite il nous emmena à l’hôtel particulier, en passant prés de bertillon, il fît sa promotion et des 70 parfums différents, il nous a parlé de sa richesse et des multiples bien immobiliers qu’il possédait…mh passionnant quoi !

Alors pour l’hôtel particulier (moi je m’imaginais un truc somptueux avec un beau tapis rouge desservant des pièces à haut plafond et des cheminées en pièce d’art) j’ai eu le droit de me baisser pour admirer de dehors une poutre que j’ai même pas vu !!! et oui les amis !!!

Quand au « jeu de paume » à l’époque du roi, il nous expliqua qu’il avait été détruit et remplacé par ces ateliers, le tout moderne et franchement pas beaux !!!

Ma seule compensation a été la délicieuse glace de chez bertillon que j’ai eu le loisir de déguster sur les quais de la Seine avec mon adorable amour et ma fatoum chérie. C’était une récompense non comprise dans le forfait de la visite évidemment.

La prochaine fois je tacherai de me casser une jambe plutôt que d’aller à ce genre de visite guidée ou j’opterai pour la visite du cimetière, au moins la-bas t’es sûre à l’avance que tu verras rien !!!

20 septembre 2006

souviens-toi

14 juillet 2006

Le Liban et la Palestine tombent et retombent...

Je reviens, pas de "avant hier" pour commencer, l'inspiration est là. Le Liban plonge et replonge...La Palestine se meurt pendant que les gouvernements "condamnent". On condamne de tous bords, on s'insurge de partout, gouvernements, chefs politiques, médias pendant que le Liban et la Palestine tombent et retombent.

La canicule en france et les explications du coup de tête de Zidane (fort interéssant par ailleurs) font couler plus d'encre et font grimper l'audimat. Prés de cela des dizaines de personnes jonglent avec la mort, enterrent leurs proches et implorent l'aide de quelque chose, de quelqu'un, d'un Dieu oublié (peut-être plus juste...). Où est la limite de l'insupportable, de l'intolérable.

Qu'est ce qui contre balance le poids de tout ce sacrifice humain? je suis bouche bé...La vie n'a aucun sens.

Héla

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